Pique-nique à St. Joseph-Cascade Catherine

En rang d'oignons sur le muret béton, les joyeux randonneurs se régalent d'un bon rougail saucisses préparé par un membre de l'ARCC.
Bien sûr, avant nous avons eu droit à l'apéro, le fameux Punch Camino préparé par Daniel Paul, recette dont il a le secret.

Assis sur les barques de pêche, nos joyeux pèlerins se restaurent allégrement, heureusement que les pêcheurs n'étaient pas là sinon, ils ne seraient pas contents.

Le Président, le Secrétaire et les Trésoriers
sont heureux devant leur assiette pleine.
Et c'est ainsi que se termine notre journée, ensuite, chacun est parti de son côté, satisfait de la ballade et de l'excellent repas.

voir la vidéo ci-après:

  http://www.youtube.com/watch?v=YuEy--ksSM8  

Page 2 Mi-parcours

Nous progressons à travers les jardins potagers et maraichères, notre destination n'est plus très loin et nos estomacs commencent à réclamer.

Nous sommes obligés d'emprunter un bout de route, à la file indienne, beaucoup de voitures malgré l'heure matinale.
Après environ  800 mètres, nous bifurquons sur la gauche pour reprendre le sentier du littoral plus ombragé et plus en sécurité.

Au passage un petit gouffre, anfractuosité dans les rochers ou de lave dans lesquels s'enfoncent les vagues dans un fracas assourdissant.

Rando ARCC du 6 Août 2011

De la marine de Vincendo à la cascade Catherine  à St. Joseph.

  Le petit groupe d'une cinquantaine de membres au début de la randonnée, au garde-à-vous et répondant à l'appel de Daniel Paul.
Il fait beau, le soleil commence à poindre dans le ciel sans nuage du Sud sauvage.
Au premier plan, un invité surprise, un petit chien "Royal-Bourbon" nous accompagnera tout au long du chemin jusqu'à St. Joseph.

Marchant d'un bon pas, nous entamons le sentier du Littoral de la Marine de Vicendo que nous atteindrons au bout de trois heures de marches et 5 km parcourus sans difficulté.
Sur la photo ci-contre, au premier plan, suspendue, deux fleurs de Vacao, une mâle et une fleur femelle. La fleur mâle est reconnaissable par un appendice supplémentaire que l'on voit de près.

 Tantôt parmi les "Patates à Durand", tantôt sur les grattons de lave, la progression se fait dans la joie et la bonne humeur.
De temps en temps, une petite halte pour se désaltérer et un petit en-cas pour se remonter.

Randonnée Peter > Booth le Pavillon

Rando toute en descente

Ce sentier est très praticable par beau temps, la chance est avec nous, car tout en descente les glissades sont très fréquentes. Le dénivelé est très forte mais maitrisable avec beaucoup de précautions et d'attention.
Le parcours s'est effectué en 4 heures avec des bons marcheurs, moi hormis car, je n'aime pas les descentes, je préfère monter malgré le palpitant qui sonne les cloches dans la poitrine.
Le repas de fin de parcours est succulent avec beignets en entrée et punch à volonté.
vidéo associée:
  http://www.youtube.com/watch?v=Crd55wLTmnw 

Page 4 - Le Cap Méchant

En laissant la piscine du Baril derrière nous avançons d'un pas alerte vers le but de notre destination "Basse Vallée".

Le bassin aménagé et le bassin naturel en arrière plan dans lequel les vagues s'engouffrent.

Le Cap Méchant

Enfin, la fin de notre expédition, un bon repas nous attend préparé par un membre de notre Association: cari poulet au palmiste, rougail saucisses, gâteau à l'orange et gâteau aux poires.

Page 3 - La table

                               Un petit instant de repos pour se désaltérer et grignoter.

La Table

D'après Louis, dans le temps, on trouvait des langoustes à cet endroit, chose qui n'existe plus maintenant. Nous quittons le sentier en direction de la Mer Cassée en empruntant une portion de la route bitumée jusqu'à le Souffleur d'Arbonne, nous passons devant Mare Longue et la Chapelle St. Expédit peinte toute en rouge. Ensuite, nous bifurquons sur la mer en longeant le sentier du littoral.

A la Mer Cassée, nous passons devant un petit resto du même nom, dont la spécialité est : cari de porc au palmiste, excellent pour y avoir goûté.

 

                                        

Nous arrivons après 3 heures de marche au Baril, sa piscine en eau de mer nous incite à la baignade.

Page 2 - Progression lente

  

Le paysage qui s'offre à nous est magnifique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La progression est lente, la marche sur les grattons de lave est plutôt pénible et les muscles ne sont pas encore chauds.

Sous les filaos et sur les blocs de lave.

Magnifique paysage marin aux couleurs changeantes.

Sortie de l'ARCC du Samedi 2 Juillet 2011

Le temps est au beau fixe, le soleil brille, nous avons de la chance car la semaine dernière à la fête de la randonnée à la Plaine des Cafres, il faisait un temps de chien.

Le départ était fixé à 7 h 30 mais avec les retardataires et les explications d'usage nous sommes partis à 7 h 45, seulement 1/4 d'heure de retard, c'est raisonnable.
Départ de l'église de Saint Philippe en direction de Basse Vallée, en prenant la sentier du littoral Sud-Ouest.

Le mot du Président

Présentation des nouveaux pèlerins revenants de Santiago.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le petit groupe composé de 30 membres, avance d'un pas allègre, il ne faisait pas encore trop chaud (c'est l'hiver austral). Le paysage qui s'offre à nous est varié, tantôt la mer tantôt la végétation luxuriante, par ci par là des pieds de vanille sur leur tuteur.

La Grande boucle du Curcuma ou du Margousier

Difficulté: 2 étoiles ** - Temps de marche prévu: 5h15 - Réalisé: 8h30
Dénivelé positif: 930 m - Départ: Plaine des Grègues - Parking de l'église, face à la Maison du Curcuma.

Pour être honnête, je m'attendais à une randonnée somme toute assez facile au vu du plan que je possédais, mais j'allais vite, très vite ... déchanter.
En effet, après un départ sur la route goudronnée, notre petit groupe de "Camillettes" amorce la montée dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Les premières marches, hautes de 30 à 50 cm nous donnent un aperçu de ce que sera la suite de la randonnée.

Après une demi-heure de montée, avec des paysages magnifiques sur la Plaine des Grègues et le lointain sur l'océan, nous bifurquons sur la droite pour sillonner dans des champs de Curcuma. Reprise d'un petit bout de route macadamisée, nous attaquons le sentier proprement dit. C'est à partir de là que notre calvaire commence, les montées et les descentes se succèdent à un rythme infernal, le vocable de "plat" n'existe pas dans le vocabulaire du randonneur réunionnais.

                                      

Malgré tout, nous avons été récompenser de nos efforts, aves des points de vue sublimes sur la Rivière des remparts, la village de l'Entre-Deux,  Saint Pierre et Saint Joseph au loin sur la mer, sans oublier le Dimitile.

Après un pique nique au sommet au lieu-dit "le Piton rond" à 1379 m d'altitude, nous amorçons la descente. C'est parti pour un petit footing, descente très sympa toujours sur un bon rythme, c'est après que cela se corse. N'écoutant pas les conseils d'un randonneur croisé en chemin, nous empruntons le sentier sur la gauche, en suivant les traces bleues, bien mal nous en a pris.




Ce n'était plus de la marche mais carrément de l'escalade, un pente vertigineuse au travers des rochers et des racines, des marches d'un mètre, nous sommes obligés d'y aller très lentement et des fois glissades sur les fesses (il faudra qu'on pense à s'équiper de short tyrolien en cuir). Nous avons pris le sentier de la cascade "Mottet" qui aurait du être fermé à cause de la dangerosité; Ouf! Après une heure de galère, nous débouchons enfin dans les champs de Curcuma.
En accélérant nos pas, nous avons fini par atterrir au bistrot du coin, devant une "Dodo lé là" bienfaitrice.